Du temps qu'on existait, de Marien Defalvard
Le jour du crémier. La nuit prêtre drapé aux oraisons banales. Le soir, c’est bien. L’aube, c’est assez bien. La lune n’a aucune influence sur nos vies. Mourir comme on cale en voiture. Les rayons coulent dans la Loire, au lieu des bateaux. Dix-sept clochers. Dix huit. Je ne sais à quoi cela tient, ni d’ailleurs comment tiennent les étoiles.
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